lundi 5 février 2018

Réflexion autour du "cancer"... On estime à 400 000 le nombre de nouveaux cas de cancers et à 150 000 le nombre de décès liés au cancer en 2017 en France. En tant que soignant ou thérapeute, beaucoup de personnes nous demandent "Pourquoi le cancer ?" Et bien peut-être QUAND ça SERT à prendre conscience... Prendre conscience qu'il est temps de changer quelque chose dans notre vie, temps de passer à autre chose. Le cancer n'est pas une maladie anodine, c'est une maladie qui s'installe parce que l'on refuse une vérité, on refuse d'aller de l'avant. On laisse finalement se cristalliser en soi des émotions négatives et néfastes, souvent liées à des situations "toxiques" que ce soit sur le plan familial ou professionnel ou autre. Le cancer est le signe de notre fatalisme face à ces situations, le signe de notre inaction face aux demandes de la vie. Notre émotionnel est devenu tellement envahissant qu'il n'y a plus de place pour la réflexion ! Pour se faire, guérir nécessite de prendre conscience... conscience de notre passivité ! Revenir à l'essentiel et s'ouvrir à la vie sont une priorité, mais pas seulement ! En effet, faut-il encore savoir où aller, et à quoi on aspire ? Et ensuite, ce sera le moment de passer à l'action et de se donner les moyens d'aller vers ce que l'on veut ! Rester motivé, garder le rythme et ne jamais se décourager seront les maîtres mots à ne pas oublier... car la vie ne cesse de nous tester ! Les épreuves de la vie, et les maladies en font parties, sont là pour nous faire réfléchir et nous faire progresser... vers quoi ? Chacun d'entre nous à la réponse... Le cancer n'est pas une fatalité, c'est juste un moyen de nous faire réagir (et réfléchir à notre vie du moment) ! Agir est alors une des principales clefs de la guérison ! NB. Le chemin de la guérison n'est pas individuel, il fait appel au "collectif" ! Rester seul dans son coin à se lamenter sur sa maladie ne sert à rien... Peut-être est ce le moment d'arrêter de se focaliser sur "notre petite personne", et de faire partie du monde, de la vie... les réponses sont là et sont multiples ! Chacun a une force en lui qu'il n'imagine peut-être pas, mais elle est belle et bien là !

mercredi 2 avril 2014

Maigrir en prenant, tout simplement, le temps de manger…

Une étude clinique iranienne montre l’effet bénéfique de la consommation d’une partie du repas (une entrée) 15 minutes avant le plat principal, dans le cadre d’un régime hypocalorique prescrit à des patients obèses ou en surpoids.

Maladies cardiovasculaires

L'alimentation au coeur de la prévention

Allergie aux protéines de lait de vache (APLV)

Interview du Pr D A Moneret-Vautrin

Manger trop cuit ou grillé : quels dangers ?

L'Académie nationale de pharmacie communique des recommandations relatives "aux dérivés toxiques du glucose" présents dans notre alimentation, qu'engendrerait une trop forte cuisson.

Transplantation fécale : un traitement à encadrer

Certaines situations pathologiques peuvent décimer les bactéries qui peuplent nos intestins. Les souches bactériennes résistantes peuvent alors se multiplier à loisir, conduisant à de graves infections.

Chirurgie de l'obésité : toujours plus d'interventions non-réversibles

De 2006 à 2013, le nombre d'interventions chirurgicales bariatriques - c'est-à-dire pour lutter contre l'obésité - a triplé.

Orthorexie : quand manger sain devient une obsession

Ce trouble du comportement alimentaire observé depuis quelques années par les psychiatres reste encore difficile à définir.

Maladie coeliaque : vers un futur traitement ?

Des chercheurs américains pourraient avoir trouvé une solution pour traiter la maladie cœliaque, pathologie incurable jusqu'alors.

Nutrition : vers un code de bonne conduite ?

Les aliments auront-ils bientôt une étiquette de couleur selon leur qualité nutritionnelle, comme l’habitat et l’électroménager sont notés en fonction de leurs performances énergétiques ?

Aliments addictifs

La composition de la salive déterminerait le risque d’obésité

Avoir une salive pauvre en une enzyme, l'amylase, favoriserait la propension à devenir obèse.